dimanche 21 juillet 2013

NECESSAIREMENT


Nécessairement, l’intérêt pour les élections municipales de 2013 grandit avec le temps. En mars, il ne s’agira plus de consultations partielles, mais d’un solide sondage national en forme de sanction sans appel du gouvernement en place. Et il en sera ainsi à Bagnères de Luchon comme dans de nombreuses villes plus importantes que notre Cité thermale.
Celle ci se trouve bien mal en point, dans tous les domaines essentiels pour l’économie locale et la vie quotidienne des habitants, et où le Maire actuel ne peut inscrire aucune action positive à son bilan.
Toutefois, les résultats dérisoires auxquels il pourrait s’accrocher ne lui seront pas aussi profitables que l’aveuglement dont certains font preuve, et que du manque de courage de plusieurs autres. De ces derniers, qui en sont restés à des inimitiés rancies, de nouveau prêts à faire perdre tout le monde dés lors que leur propre vision continue de prévaloir, M. FERRE peut encore espérer. Car ils ne pâtiraient pas autant que les moins pourvus de nos concitoyens, ceux de la classe populaire des gens modestes, des artisans et commerçants aux fins de mois difficiles, des gens aux petites retraites, tous auxquels je pense d’abord, parce qu’ils seraient les premières victimes d’une poursuite de la politique actuelle, locale et gouvernementale.
Pour eux, j’entends maintenir une voie de meilleur espoir, avec une collectivité de nouveau disponible pour les soutenir et les accompagner.
Aussi, inlassablement, je plaide pour une rupture avec un passé chargé d’échecs. Au cours de ces six dernières années, il était nécessaire de se trouver un partenaire privé pour le thermalisme, comme il était contreproductif de laisser partir celui que nous avions installé à Superbagnères. Ces choix construits patiemment au fil des ans – et le décès de M. Pierre Fabre, grand industriel ami de Luchon, me le rappelle -, n’ont malheureusement pas été compris, et encore moins concrétisés par la municipalité FERRE, quel que fut son directeur général des services.
De sorte que la Ville se trouve aujourd’hui au pied du mur, avec des activités économiques qui ont monopolisé les moyens de la commune, et l’ont conduit à négliger ses autres missions au service des habitants.
Il n’est ici question, ni d’idéologie, ni de personnalité, même si la mienne, paraît-il, clive l’opinion.
Tous ceux qui pensent comme moi  - NECESSAIREMENT - me rejoindront pour faire prévaloir cette ardente obligation pour les habitants de cette Ville.