Le label des stations thermales et climatiques comprenait la présence d'un Casino et d'une industrie hôtelière de qualité. Les mieux dotées avaient reçu en complément une station de ski. L'histoire du massif a retenu pour BAGNERES DE LUCHON un agencement plus remarquable de ces caractères, pour en faire la Reine des Pyrénées.
Il est avec certitude revenu aux Maires passés de défendre et d'entretenir, si possible développer cette composition, où aucun élément ne doit manquer pour se conforter l'un l'autre, et apparaitre aux magistrats municipaux comme une succession patrimoniale dont ils avaient la charge.
Or, cette alliance des jeux, des thermes, de Superbagneres et de l'hotellerie à été rompue. Sous l'effet de la diminution irrépressible des clientèles de curistes, des besoins financiers dévorant de la station de ski, et de la disparition progressive des entrepreneurs hôteliers.
Une parade au déclin annoncé s'était organisée avec l'entrée de partenaires nouveaux, afin de soulager la Ville et dynamiser le tissu thermal. La nécessaire arrivée du secteur privé, à un rythme des plus respectueux d'une opinion encore décalée par rapport aux réalités économiques, a modifié le paysage. Notamment, avec ALTISERVICE gérant la station de ski, et avec les perspectives de coopération offertes par l'attachement de PIERRE FABRE à Luchon. Alors que le Casino était dégagé de ses obligations envers le Festival du Film pour soulager sa trésorerie en grande difficulté.
Ces changements ont contrarié les intérets de ceux qui trouvaient avantage à la déshérence progressive du capital hérité de l'ancien temps, ou qui espéraient continuer à survivre grâce à des rentes reçues de la collectivité.
Malgré la présence des investisseurs privés, qui sont aussi venu pour renouveller l'appareil hôtelier, les gens s'enfoncent dans des choix que la raison ne peut reconnaître. Et depuis peu tombent un à un les pans entiers de la station thermale: le Casino est fermé pour longtemps, ALTISERVICE à été délivré de ses engagements pour l'avenir, laissant la collectivité face à elle même, PIERRE FABRE s'est vu découragé dans ses assiduités, avec pour résultats d'abandonner les thermes au sort précaire des cures médicalisées classiques.
Le bilan de sortie de la municipalité que les luchonnais se sont choisie est funèbre: la reine se meurt, la reine est morte.
Il est avec certitude revenu aux Maires passés de défendre et d'entretenir, si possible développer cette composition, où aucun élément ne doit manquer pour se conforter l'un l'autre, et apparaitre aux magistrats municipaux comme une succession patrimoniale dont ils avaient la charge.
Or, cette alliance des jeux, des thermes, de Superbagneres et de l'hotellerie à été rompue. Sous l'effet de la diminution irrépressible des clientèles de curistes, des besoins financiers dévorant de la station de ski, et de la disparition progressive des entrepreneurs hôteliers.
Une parade au déclin annoncé s'était organisée avec l'entrée de partenaires nouveaux, afin de soulager la Ville et dynamiser le tissu thermal. La nécessaire arrivée du secteur privé, à un rythme des plus respectueux d'une opinion encore décalée par rapport aux réalités économiques, a modifié le paysage. Notamment, avec ALTISERVICE gérant la station de ski, et avec les perspectives de coopération offertes par l'attachement de PIERRE FABRE à Luchon. Alors que le Casino était dégagé de ses obligations envers le Festival du Film pour soulager sa trésorerie en grande difficulté.
Ces changements ont contrarié les intérets de ceux qui trouvaient avantage à la déshérence progressive du capital hérité de l'ancien temps, ou qui espéraient continuer à survivre grâce à des rentes reçues de la collectivité.
Malgré la présence des investisseurs privés, qui sont aussi venu pour renouveller l'appareil hôtelier, les gens s'enfoncent dans des choix que la raison ne peut reconnaître. Et depuis peu tombent un à un les pans entiers de la station thermale: le Casino est fermé pour longtemps, ALTISERVICE à été délivré de ses engagements pour l'avenir, laissant la collectivité face à elle même, PIERRE FABRE s'est vu découragé dans ses assiduités, avec pour résultats d'abandonner les thermes au sort précaire des cures médicalisées classiques.
Le bilan de sortie de la municipalité que les luchonnais se sont choisie est funèbre: la reine se meurt, la reine est morte.