L'avantage de l'instant est que la crise à l'UMP va enfin se dénouer, et que les responsables, qui ont brigué la présidence dans une querelle personnelle sans égard pour la crédibilité de notre mouvement, vont se trouver à devoir rendre des comptes aux adhérents.
Ce n'est pas le moment de lâcher et de se décourager. Au contraire, nous devons être prêts à accompagner les événements qui permettront à l'opposition républicaine de la Droite et du Centre de retrouver sa place, et se donner le dirigeant capable de nous conduire à la victoire en 2017.
Devant les ambitions sans envergures qui se manifestent, et la déception qu'elles suscitent, il est maintenant clair que Nicolas Sarkozy sera celui là, en prenant le leadersheap du mouvement, en menant une offensive directe sur l'opinion, en rétablissant l'ordre des choses: soutien populaire et dynamique militante d'abord.
C'est mon espoir, pour conjurer la malédiction du politique et écarter le FN de sa marche vers le pouvoir.