M. Hollande paie aujourd'hui le déni de la crise qu'il a sciemment ignorée pour entrer à l'Elysée. Et comme il ne peut l'avouer, en laissant faire le contraire de ce qu'il annonce, les français ne savent plus où il les mène.
Le déni de réalité frappe insidieusement ses victimes, qui ne se remettent plus d'une aggravation constante de leur état.
J'en dirai autant de l'hôte actuel de la Mairie de Luchon. Ayant appliqué pendant son mandat des recettes inopérantes, issues d'une analyse plutôt puérile, on peut se demander s'il a seulement conscience de la situation de sa commune.
L'empreinte du déni marque à l'identique ces deux responsables, de l'échelon de base et de la plus haute responsabilité de la république.